
Communiqué de presse
Contact partenaire de communication:
Elsie Van Linthout chez Luna
GSM: +32 475 26 01 03
elsie@luna.be
Big Pharma, Big Lies: “Les statines qui réduisent le cholestérol devraient être retirées du marché”
- « Big Pharma, Big Lies »: seuls 11% des médicaments se sont avérés bénéfiques et sûrs;
- Les statines sont des médicaments de substitution qui réduisent simplement le cholestérol mais ne prolongent pas la vie. Pire: elles ont de nombreux effets secondaires, dont la mort;
- Appel aux régulateurs à n’approuver les médicaments qu’après des tests autonomes et à la condition qu’ils soient bénéfiques et sûrs, et meilleurs que les médicaments actuellement disponibles.
Ostende, Belgique – Dans son livre « Big Pharma, Big Lies », le professeur Luc Hondeghem exhorte les régulateurs à n’autoriser que les médicaments qui satisfont aux critères d’efficacité et de sécurité, et à assurer un monitoring permanent de ces médicaments autorisés, car certains peuvent devenir nocifs par la suite. Le processus actuel permet à de trop nombreux médicaments d’entrer sur le marché alors que leurs avantages sont incertains ou inexistants, certains étant même préjudiciables à notre santé. Seuls 11% de tous les médicaments se sont avérés bénéfiques et sûrs. Par exemple : les statines ont été développées pour prolonger la vie, mais ce n’est pas le cas. Au contraire, elles font baisser le taux de cholestérol – mais ce n’est pas nécessairement bénéfique pour le patient – et elles ont de nombreux effets secondaires (cancer, diabète, douleurs musculaires, et bien d’autres) allant parfois jusqu’au décès.
Le Dr Luc Hondeghem, professeur de médecine et de pharmacologie (à la retraite) a connu une carrière impressionnante aux États-Unis et en Belgique. Il lance un appel pour renforcer le processus d’approbation des nouveaux médicaments. En effet, aujourd’hui, les médicaments peuvent être autorisés après une évaluation par la société pharmaceutique qui désire introduire le médicament sur le marché. Un tel processus est voué à l’échec en raison d’un possible conflit d’intérêts. Certains médicaments entrent même sur le marché sans approbation officielle. En effet, si la FDA (Food and Drug Administration) ne s’oppose pas à l’autorisation d’un médicament dans les 180 jours suivant la demande d’approbation, le médicament est automatiquement approuvé. Par conséquent, de nouveaux médicaments, même s’ils sont inférieurs aux médicaments existants, peuvent être mis sur le marché avec seulement une autorisation de façade. Cette situation est trompeuse à la fois pour les médecins et pour leurs patients qui méritent de meilleurs médicaments. Le Dr Hondeghem avait espéré pouvoir informer le public sur les 11% de médicaments dont la sécurité et l’efficacité ont été prouvées, mais l’organisation en charge s’est montrée réticente à divulguer ces données.
Luc Hondeghem: «Nous avons besoin de toute urgence de régulateurs médicaux totalement indépendants et autonomes qui n’approuvent les médicaments que conformément au serment d’Hippocrate : lorsque les avantages l’emportent sur les inconvénients.»
Les statines qui réduisent le cholestérol devraient être retirées du marché
On dit souvent aux patients qu’il existe un « bon » et un « mauvais » cholestérol. En conséquence, les médecins prescrivent des statines pour réduire le « mauvais » cholestérol de leurs patients. Cependant, cette théorie du « mauvais » cholestérol, ainsi que la notion selon laquelle il faut éviter les graisses saturées pour réduire le « mauvais » cholestérol, est un mensonge. La recherche a prouvé que les graisses saturées n’ont aucun effet sur les maladies coronariennes ni sur la mortalité toutes causes confondues. Les vrais problèmes surviennent lorsque le cholestérol s’oxyde. Ce ne sont donc pas les statines, mais bien un mode de vie sain et un régime méditerranéen contenant de nombreux antioxydants qui ont prouvé de manière significative qu’ils empêchaient cette oxydation dangereuse du cholestérol.
A la fois, une quantité insuffisante et excessive de cholestérol entraînent des maladies, mais il existe entre les deux une fourchette avec la quantité parfaite. Au fil des années, un nombre croissant de patients se sont vus prescrire des statines pour réduire et encore faire baisser leur taux de cholestérol. Dans son livre, Luc Hondeghem renvoie à des recherches menées au Danemark sur deux groupes similaires de patients sur une période de 9 ans. Dans le groupe prenant des statines pour réduire leur cholestérol, il y a eu deux fois plus de décès que dans un groupe similaire sans statines (19,2% contre 9,3%). Les études montrent que les statines font baisser le taux de cholestérol dans le sang mais augmentent la mortalité toutes causes confondues en raison de leurs nombreux effets secondaires: cancer, diabète, maladies cardiaques, etc.

Sur la base de ces recherches, Luc Hondeghem conclut: «Les médecins ne devraient pas envisager d’utiliser les statines pour réduire le cholestérol car elles ne prolongent pas la vie ; au contraire, elles la raccourcissent. Mais les statines sont un business de mille milliards de dollars, et les grandes compagnies pharmaceutiques ont un fort pouvoir de lobbying auprès des gouvernements. Cependant, il s’agit de la santé de nos concitoyens, alors nous ne devrions jamais nous contenter d’un compromis, et encore moins au profit des grandes groupes pharmaceutiques.»
A l’attention des journalistes
Vous souhaitez plus d’informations ou une interview? Veuillez contacter Elsie Van Linthout chez Luna : elsie@luna.be, +32 475 26 01 03.
A propos du livre
Le livre autoédité est disponible sur Amazon. La version papier coûte 16,99 $ ou 16 €. L’e-book coûte 9,50 $ ou 9,99 €.
Le lien vers le livre (copiez-le dans votre navigateur et enlevez l’espace après « https: »)
https: //amzn.to/3ngcvbP
A propos de l’auteur
Luc Hondeghem MD, PhD (1944, Jabbeke, Belgique) est un professeur en médecine et en pharmacologie à la retraite. Il a obtenu son M.D. et M.S. à l’Université de Leuven (Belgique) et son doctorat en pharmacologie à l’Université de Californie à San Francisco, où il a travaillé en électrophysiologie cardiaque pendant 15 ans. Il est ensuite devenu professeur de médecine et de pharmacologie à l’université Vanderbilt de Nashville et a pris la direction du Stahlman Cardiovascular Research Center. À partir de 1990, il a enseigné l’électrophysiologie cardiovasculaire à l’université de Leuven et a fondé un laboratoire d’électrophysiologie nommé Hondeghem Pharmaceutical Consulting à Ostende, en Belgique.
Ce laboratoire a réalisé plus de 25.000 expériences. De nombreux médicaments ont révélé des problèmes d’arythmie cardiaque pouvant entraîner la mort. Par exemple, la dompéridone est une substance présente dans le Motilium et le Touristil et elle peut entraîner des décès. Luc Hondeghem a refusé à plusieurs reprises de signer un rapport trompeur rédigé par l’entreprise pharmaceutique. Finalement, le Touristil a été retiré du marché et le Motilium n’est désormais plus disponible que sur ordonnance et uniquement pour les patients de plus de 12 ans. Hondeghem reste convaincu qu’il serait préférable pour notre santé que le Motilium soit complètement retiré du marché, car il ne présente que peu ou pas d’avantages, mais de nombreux effets secondaires néfastes.
Luc Hondeghem a collaboré à 33 livres et a écrit 82 publications. Il vient de publier son dernier livre, « Big Pharma, Big Lies », comme un devoir civique d’informer le public sur la mauvaise qualité de la plupart des médicaments, en prenant l’exemple frappant des statines. Il a choisi de s’auto-publier, après que cinq revues médicales de renom aient refusé de publier ses articles exposant ces vérités dérangeantes.