L’iBuyer Wesold partage les résultats de son enquête portant sur la perception des jeunes concernant le marché immobilier

Les prix immobiliers préoccupent au quotidien un jeune sur deux âgé entre 21 et 24 ans

Bruxelles, le 5 juin 2023 – Wesold, premier iBuyer dans notre pays spécialisé dans l’achat immobilier résidentiel instantané, a réalisé une enquête en ligne axée sur la perception des jeunes âgés entre 18 et 30 ans concernant le marché immobilier. Les résultats de l’enquête, permettant de mieux comprendre le marché, indiquent que les jeunes sont particulièrement touchés par les crises successives. L’iBuyer constate que les jeunes rêvent d’accéder à la propriété mais les prix de l’immobilier les préoccupent désormais au quotidien. A moins de pouvoir accéder à un budget total de 355 000 euros (frais et travaux inclus), le pessimisme est largement de mise.

Wesold a mené une enquête pour mieux comprendre l’évolution du marché immobilier actuel en s’intéressant plus spécifiquement à la perception qu’en ont les jeunes. L’enquête a été réalisée en ligne et sur les réseaux sociaux, auprès de jeunes entre 18 et 30 ans. Un peu plus de 200 jeunes ont répondu à une douzaine de questions, dont 39% de bruxellois et 61% de francophones provenant de Wallonie et de Flandre. Les résultats de l’enquête indiquent plusieurs tendances.

Le désarroi des jeunes face à l’immobilier

La Proptech constate que 9 jeunes sur 10 rêvent d’accéder à la propriété. Toutefois, les prix actuels affectent lourdement leur moral.

Vincent Dumont, COO et membre du Comité d’investissement de Wesold explique: «Nous constatons que 90% des répondants pensent que la majorités des jeunes en Belgique ne pourront pas acheter une habitation dans les conditions immobilières actuelles. Les prix immobiliers élevés (achats, frais, travaux) préoccupent au quotidien un jeune sur deux entre 21 et 24 ans. Les jeunes qui voient leur avenir avec un peu plus de sérénité sont ceux qui pensent pouvoir disposer d’un budget total de 355 000 euros (dont au moins 70 000 euros de fonds propres) pour acheter un bien.»

Vivre en communauté: une alternative à la propriété?

Wesold indique que la vie en communauté est bien une alternative mais elle ne fait pas l’unanimité chez les jeunes, loin de là. Moins d’un jeune sur dix se voit vivre en communauté sur le long terme (coliving, habitats groupés, maisons kangourou, etc.). Les «kotteurs» actuels semblent mieux accepter ce mode de vie : 43% d’entre eux y sont favorables. Parmi les «non kotteurs» principalement les wallons, seuls 8% d’entre eux imaginent opter pour ce type d’habitat.

En outre, un jeune sur deux, surtout dans la tranche des 25 à 30 ans, semble accepter l’idée qu’il vivra dans une habitation plus petite que celle de ses parents. Les jeunes rêvent cependant quasi unanimement d’un jardin. 80 % des jeunes wallons le souhaite même ardemment.

La ville n’a plus vraiment la cote auprès des jeunes

Parmi les répondants, un Bruxellois sur deux souhaite quitter la ville. Quatre Wallons sur cinq ne souhaitent pas y entrer. L’enquête montre que plus on progresse dans les catégories d’âge, plus la périphérie et la campagne gagnent en popularité. Les raisons? Un impérieux besoin de calme et de la verdure d’un jardin pour les (futurs) enfants.

Préoccupations climatiques et énergétiques

Les jeunes interrogés sont dubitatifs quant à la possibilité pour la Belgique d’atteindre ses objectifs climatiques à l’horizon 2050 en matière d’isolation des bâtiments. En effet, ils sont 60% à croire que le pays n’y arrivera pas, contre seulement 10% qui se déclarent optimistes. Les autres sont sans avis.

Un jeune sur deux se dit également sérieusement préoccupé par les prix de l’énergie nécessaire à chauffer et alimenter leur habitation. Les Wallons plus que les Bruxellois. Les 21 à 24 ans bien plus que les plus jeunes.

Les participants à l’enquête sont mitigés sur les avancées technologiques qui pourraient améliorer la situation. Globalement, 40% y croient, 20% pas du tout, et les autres n’ont pas d’avis sur la question.

Au moins un jeune sur deux est pessimiste concernant son futur habitat

A la question de savoir «Comment, se sentent finalement les jeunes par rapport à la préoccupation concernant leur futur habitat?», parmi les répondants de 18 à 30 ans, seuls 14% s’avèrent optimistes, contre 50% sont pessimistes. On atteint même 60% de pessimistes chez les 25 à 30 ans.

Étrangement, un tiers des jeunes interrogés affirme que devenir propriétaire n’est en définitive pas si important pour eux, pour certains par fatalisme et pour d’autres par choix.

«Les résultats de l’enquête sont interpellants. La tendance est clairement marquée par le désarroi des jeunes qu’on laisse désespérer. L’incertitude quant à l’avenir de leur habitat les mine peut-être plus que l’on ne le croit. Même les jeunes disposant d’ un emploi ont difficile à composer dans un contexte immobilier opaque n’offrant que des perspectives d’achat de biens réduites par rapport à leur parents. L’absence de signes d’amélioration sur le marché immobilier renforce cette tendance vectrice de pessimisme chez les jeunes. Ne pas leur permettre d’accéder à la propriété pose question sur le futur de notre société.» conclut Vincent Dumont.

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02 658 02 93/70 – 0495 59 38 06

À propos de Wesold

Fondé en octobre 2019, Wesold est le premier iBuyer en Belgique. La start-up est spécialisée dans l’achat immobilier résidentiel instantané. Wesold se charge de l’intégralité du processus, de l’acquisition d’un bien jusqu’à sa revente, via ses outils digitaux. Wesold propose des offres rapides, achète un bien en l’état, sans clauses suspensives et prend en charge les formalités diverses. Le Management de la start-up dispose de plus de 20 ans d’expérience en immobilier. Wesold contribue ainsi à un accroissement de la liquidité du marché immobilier en investissant dans le parc immobilier et en accélérant son taux de rotation.

La start-up Wesold est située à Bruxelles. Son équipe est composée de 9 collaborateurs, dont le fondateur. Pour de plus amples informations: wesold.be.